jeudi 29 décembre 2011

Georges Tony Stoll

Je me demande pourquoi je suis artiste et qu’est-ce que je dois faire? Je me demande pouquoi tout le monde n’est pas artiste et ce que font les artistes? Je suis entouré, Ceux qui m’entourent m’attirent? Je les regarde, je les écoutes, je lis dans les journaux ce qu’ils font, je m’intéresse à eux et finalemnt, c’est le lien qui se crée entre eux et moi, entre meur expérience et la mienne que je travaille aussi. Il y a souvent une égalité entre un de mes problèmes et un des problèmes d’hommes que je ne connais pas. Seulement parce que je ne suis pas le seul à avoir des difficultés à rester debout, marcher, parler, en fait, trouver ma palce. Dans cette réalité-là que je partage, il faut que je “m’organise” : je ne sais plus rien, et je suis pas d’accord, je sens que je dois changer.
La nécessité de réfulter un prinipe ou un ensemble de principes vient aussi de la connaissance de sa propre histoire, du vécu comme preuve et de l’acceptation du désordre induit par l’incapacité à répondre à ce, ou ces principes. La marginalité n’est pas un choix. Son signalement est limité par l’ordre social. L’intime, l’intérieur est alors le vrai lieu de conflit s’il naît du refus de la fusion et de l’identification de la différence. Etre défini, nommé comme différen. Parce que je suis différent. Je me sens semblable et je me sens désormais différent. Je veux que l’on perçoive cette différence et qu’elle se montre au bon moment. Je veux que l’on voie ce qui est pou moi inacceptable. L’art me sert à mettre en place ce conflit.
L’art travaille à mettre en lumière un effort qui révèle des contradictions vitales: le savoir intime et la compréhension universelle, la construction et la destruiction, la tentation d’accession à une place idéale et le nomadisme, la marginqlité et la collectivité. ces contradictions douvent mener celui ou celle qui regarde à prendre d’autres positions, à prendre une autre possession de leur propre corps, à se mettre en mouvement individuellement et collectivement.
-- Georges Tony Stoll

jeudi 22 décembre 2011

Georgia O’Keeffe

 

 

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Georgia O’Keeffe

Ce que les femmes veulent, c’est que les hommes cessent de baser leur grandeur sur l’amoindrissement des femmes … C’est ne point être élevées, enseignées, façonnées suivant un type de convention, type conçu dans la cervelle des poètes, des romanciers, des artistes, et par conséquent dépourvu de réalité.

Maria Desraimes

lundi 27 juin 2011

Peinture

 

 

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Acrylic on paper 72cm×76cm 2011 Sheffield UK

 

La peinture offre la possiblité d’instaurer une proximité avec un ensemble de pensées et de sentiments. Le sujet, c’est la représentation de la sexualité, du désir, et de la violence. A partir de là, la peinture joue sa rôle, un langage visuelle à travers l’oeil et la lecture, un outil de la communication avec ce monde contemporain, sa présence statique provoque une réaction, c’est l’envers recomposé du réel.

jeudi 16 juin 2011

See you Sheffield!

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It’s the time to say good bye! Dear Sheffield, dear friends, dear Sharon! I am so lucky to meeting you here! You brought me so much happiness! I love you, dear all!
Cinq mois de séjour en Angleterre, Sheffield est une ville si vivante, la culture anglaise est très différente de celle de la France, c’est un autre monde! Le cours de MA Fine Art et les communications avec les étudiants ont beaucoup approfondi mes pensées sur l’art et ouvert mon horizon en même temps, tout ça m’emmène vers une maturité, j’ai plein de chance!
Merci à Sheffield, merci à vous!




mercredi 15 juin 2011

MA/MArt Final Show




 

 

 



 

 

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Sheffield Hallam University MA/MArt Final Show
http://www.wix.com/shueight/artists

Sexual Objects




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Sexual objects clay, Sheffield UK 2011

Ces objets découlent de mon travail photographique et pictural, le corps le mémoire sont toujours son essence, une reproduction du corps, la féminité, la masculinité, se confondent et s’entrecroisent. Ces objets expriment un langage particulier qui leur est autonome, se matérialisent le désir, l’érotisme, les souvenirs corporels. Une abstraction des expériences enfantines et sexuelles. Le plaisir par toucher, le plaisir de la fabrication qui continue de se transformer, se déconstruire et se reconstruire.






dimanche 12 juin 2011

Painting III


 

 

 

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Acrylic on canvas 80cm×100cm Sheffield UK

I kiss you my sad childhood


 

 

I kiss you my sad childhood (On going project) 
photo, embrodery and various materials
, UK 2011

 

Mon enfance, elle est jamais éloignée, dès année après le mémoire devient l’esscence de mon travail artistique, l’enfance n’a jamais perdu sa magie, elle me hante, elle m’encourage, elle devient une partie de toute ma vie. J’essaye de sortir, de dire à dieu à ces passé, cependant chaque fois quand elle revient, je revois cette petite fille, désespérée et aussi courageuse. Le mémoire se joue et se déjoue, un combat entre le passé et le présent.

Ce travail est un côté littéraire et narratif. Les photos du passé, une image irréelle, loin de la vie. Une photo de famille, on se pose devant l’ appareil de photo, sourire, joyeux. Avant déclencher, on est déjà devenu “une image heureuse” prêt à être photographié, un point tiré du temps réel, efface tous les passé, toutes les futures, une photo de famille est aussi proche de la mort. L’autobiographie est toujours le support de mon travail, je ne peux jamais faire de l’art si je ne suis pas honnête.

L’art nous permet une grande possiblité de la création, de continuer à se déconstruire et se reconstruire. Ici, j’imagine une conversation entre ma mère, dans une condition féminine, matriarcale, on ne peut jamais déconstruire pleinement cette société patriarcale, en revache, la création nous permet de chercher sa oppostition, une relation maternelle.

Un relique de l’enfance, la conversation s’établit, ici, la réalité et l’imagination s’entrecroisent, se transforment ses rôles de fonction, le mémoire et le temps se reconstruisent.

Autoportrait

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Acrylic on canvas 50cm×60cm Sheffield UK

La vie est si douloureuse, je ne veux plus revenir
La silence se recule pour soi
silence, que la silence




jeudi 9 juin 2011

Ai Weiwei

 

 

 

 

A côté du Lisson Gallery, les affiches d’Ai Weiwei
" Creativity is the power to reject the past, to change the status quo, ans to seek new potential”
" Liberty is about our rights to question everything”
" Words can be deleted, but the facts won’t be deleted with them”

mercredi 8 juin 2011

Tracy Emin

 

 

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Au South Bank Centre à Londres, une grande exposition de Tracy Emin,  Love is what you want, Une artiste anglaise connue par son travail autobiographique. J’étais étonnée et touchée par son courage et la grande force, jamais une artiste peut s’ouvrir aussi tant, pendant l’expostion, je sentais le cri de son âme, le sang coulé vigoureusement, la confession est si sincère et entière!

mardi 7 juin 2011

Yayoi Kusama





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Victoria Miro,London


Dans le galerie Victoria Miro à Londres, j’ai visité une exposition de Yayoi Kusama. Dans son travail, les pois sont toujours son language visuel, issus d’hallucination d’enfance. Le pois devient le médium de communication avec le monde, l’univers est construit par les pois, la terre et un pois parmis tous, Ma vie est un pois perdu parmi des milliers d'autres pois… En même temps, ces pois créeent son propre language et construisent une invincible existence, l’univers, regarde-moi, je suis là et bien là
Dans l’exposition, énormes scupltures en couleurs diaprés, la grande force et la joie d’être vivant retourne contre la psychose qui lui hante infiniment. Après beaucoup de cherche sur l’internet et des livres, je suis vraiment étonnée et touchée par sa énorme force interne! Bravo! Kusama ma belle mamie!

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Yayoi Kusama








samedi 4 juin 2011

Edinburgh

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Edinburgh, la belle ville. Les montagnes, la mer, les chatêaux, les vieux architectures gothiques. Plein nord, les paysages sauvages, le vent impétueux, le musique mélodieuse de la cornemuse… Nous marchions dans la ville, chaque pas était une rencontre inattendue, les féeries remplissait mes yeux fermant à demi, les cheuveux volaient au rythme lyrique du vent, je laissais couler tout mon corps tout mon esprit dans cette légerté de la jouissance…