jeudi 24 mars 2011

Kim L. Pace

 

 

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http://www.kimpace.co.uk/

 

  L’artiste et curator Kim L. Pace est invitée au conférence de nôtre département. Elle travailles sur multi-médiums, photo, dessin, installation et récement film d’animation.
   A travers ses travaux, les grotesque héroine demi-animal demi-humain dans des narrations issues des histoires anciennes, reflètent nôtre vie contemporaine, l’artiste se met entre deux temps, les époques passées et la vie d’aujour d’hui, dès fois sombre, effrayant, dès fois humoristique.
    Dans les grands formats de photographie, ‘Freak-show’, les femmes s’habillent chic, à la mode, mais en même temps hirsutes, human-gorilla, les images hideuses, la nature humaine dont une femme peut être simultanément séduisante et affreuses. “The prefect woman is a lie ” (Le fameux solgan dans les photos de Susanne JUNKER)
   Le récent film d’animation Depth Wish, filmé au fond de la mer, le lieu inabitable, l’origine de la vie en même temps. L’artiste invente un ‘monstre’ demi-possion demi-humain, mis en scène sans intrigue, ce que le film montre c’est plutôt l’impuissance de l’héroine dans cette situation sombre, étouffée et troublante.
   Au tours de ses travaux, les ‘monstres’ humain-animal est toujours le sujet particulier, le truchement de l’artiste, où l’histoire annciénne et nôtre époque contemporaine se croisent, les rêves et les cauchemars se remplient, rèlevant une étrangeté inquiétante, ce que les conditions d’être humain.

lundi 21 mars 2011

Critique sur Elles@Pompidou

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L’exposition elles@Pompidou s’est dévoilée au musée National d’art Moderne le 27 mai 2009 à Paris, une exposition s’est consacrée entièrement aux œuvres d’art des femmes artistes du début du 20e siècle à nos jours. De toutes les nationalités et toutes disciplines confondues : plasticiennes, designers, photographes, architectes, écrivaines, vidéastes, cinéastes, performeuses, chorégraphes… 
Grâce à sa longue durée, je l’ai visité trois fois. Pendant la première et la deuxième visite, l’exposition était toujours regroupée en six thématiques : Feu à volonté, Corps slogan, Eccentric abstraction, 《Une chambre à soi》, Le mot à l’œuvre et Immatérielles. En associant ces six thématiques et l’énorme affiche de Guerrilla Girl se situe au début de cette exposition (Do women have to be naked to get into the Met. Museum? Less than 3% of the artists in the Modern Art sections art women, but 83% of the nudes are female). L’exposition a bien intrigu sa volonté, un nouveau regard sur l’histoire de l’art modern et contemporain. Ca me rappelle l’installation de Judy Chicago, Dinner Paryt 1979, qui met femmes sur le devant de la scène, déclare la place qu’elles méritent. Malgré les luttes féministes des années 1970, les femmes artistes souffrent toujours d’un manque de visibilité, il n’y rien de choquant ni d’étrange à une exposition qui se consacre entièrement aux hommes artistes. Et la faible proportion des artistes féminins qui s’exposent dans des musées classiques au lieu d’être modèle nu apparaissant sur des peintures.
« Une chambre à soi » est le fameux essais de Virginia Woolf qui nomme une section de l’exposition. La réflexion de cet ouvrage ne confirme pas seulement les conditions matériaux indispensables pour une femme créatrice. Mais aussi la nécessité de regard vers soi-même, une voix différente et indépendante de celles des hommes afin de construire sa propre existence. La différence fondamentale entre deux genres est évidemment le corps, ou particulièrement le sexe. Donc le corps devient le matériau privilégié dans la construction de leurs travaux artistiques, qui réponse bien une des thématiques : Corps slogan, pour créer une empathie, une identification.
La performance d’Orlan, Le baiser de l’artiste, 1977, et Touch Cinema de Valie Export, ainsi que la vidéo installation Corps étrange, 1994 de Mona Hatoum renversent le rôle corps-objet, le corps et le sexe vulnérable devient le sujet et le pouvoir.
Robe de chair pour albinos anorexique, 1987 de Jana Sterbak nous donne une image dégoutante et bouleversante loin de la beauté et du désir, un corps humain que les peaux se vieillissent naturellement.

La vidéo performance Meat Joy, 1964 de Carolee Schneeman, mettant les femmes au sujet de leur désire et le plaisir sexuel au lieu d’être l’objet du désire masculin.

Le sol de l’entrée de « Une chambre à soi » est projeté par le vidéo clip de Pipilotti Rist. Les couleurs diaprés et la jouissance de la musique crée une ambiance vivante, joyeuse et féminine. Le plaisir et la raison d’être de la féminité.

A travers ces 200 artistes et 500 œuvres, les femmes artistes réapproprient les places qu’elles méritent mais n’occupent pas encore dans l’histoire de l’art, non seulement le nombre des artistes et des œuvres exposées mais la volonté de cette exposition s’est tenté d’éprouver la plus de possibilités de multi-existences féminines qui mérite bien ses pluriel—elles@Pompidou. La multiplicité des œuvres et ses réflexions évoluent de l’histoire féministe à nôtre époque contemporaine. Comme ce que dit l’artiste-Performeuse Valié Export « IL EST PLUS QUE TEMPS que nous, les femmes, utilisions l’art comme un moyen d’expression pour influencer la conscience de chacun. »

En regardant en arrière, la première vague du féminisme des années 1960, les hommes et les femmes deviennent égaux devant la loi : droit à l’éducation, droit au travail, droit à la maîtrise de leurs biens et droit de vote des femmes. Le mouvement féministe a produit une grande diversité d’analyses sociologiques et philosophiques. La deuxième vague féministe, qui intervient à la fin des années 1960 avec la naissance du Mouvement de libération des femmes, les revendications touchant au contrôle de leur corps, le droit d’avortement, de contraception, la construction de nouveaux rapports sociaux de sexe. Dans cette perspective, la notion de « genre » entend « dénaturaliser » les rapports entre les sexes. Ces mouvements féministes ont aussi beaucoup influencé l’idéologie et les pratiques artistiques.

Dans l’exposition elles@pompidou, les dessins et les sculptures de Kiki Smith m’ont beaucoup impressionné et aussi ouvert un nouvel angle en tant que femmes artistes. Les filles sont en train de faire l’amour avec les animaux, loup, chèvre etc. Ses œuvres rendent le sexe au terrain naturel et culturel, séparé du genre, éloigne de la société et la politique. C’est ça notre but final en tant que féministe — l’humanité.
L’humanité, à partir de ce point, une telle grande envergure de l’exposition s’est consacrée entièrement aux femmes artistes, dans ce centre d’art contemporain national français. 200 artistes 500 œuvres, dans une surface de 8000 m2. Les femmes artistes s’exposent en excluant tous les hommes artistes est une action extrême, qui me semble d’être contradictoire de nôtre nature humaine.
Evidement les femmes artistes ont besoin d’une voix visible au public, pour créer leurs propres existences qui n’est plus construite par les hommes, c’est une volonté correcte et encouragée. Mais en réalité nous vivons dans la société qui est construite par deux genres, masculin, féminin, l’un est toujours parallèle d’un autre, on ne peut jamais échapper l’un de l’autre, même dans les mouvements féminismes, l’un fait toujours le système de référence de l’autre. Dans « Une chambre à soi », Virginia Woolf a écrit, « Les femmes ont pendant des siècles servi aux hommes de miroirs, elles possédaient le pouvoir magique et délicieux de réfléchir une image de l’homme deux fois plus grande que nature. » qui révèle la faiblesse de raison d’être masculine, même si c’est un faux miroir, dans la société, l’un est dépendant de l’autre, les hommes sont pareils, on ne peut jamais séparer les deux genres.

Grâce à l’appréciation du public, elles@Pompidou a prolongé sa durée. La troisième fois de visite, après plus d’un an, l’exposition a ajouté une autre thématique : Trouble de genre, dont les artistes homosexuels, transsexuels se sont exposé, comme Andy Warhol, Judith Butler. La question est devenue plus complexe. Ici, le genre est distinct du sexe. On peut être né masculin, se perçoit comme de genre féminin, et désire changer de sexe pas exemple. Les théories trans-, queer, gay brouille le genre et l’opposition simple homme/femme. Dans « Le deuxième sexe », Simone de Beauvoir a aussi déclaré « On né pas femme, on devient femme ». C’est la société et la politique nous imposent nôtres rôles féminins dominés.

La troisième vague du féministe à partir des années 1990, issue de la ‘deuxième vague’. Entre autres différences, l’importance accordé à la diversité au sein des groupes, notamment par une meilleure visibilité occupée par les femmes considérés comme doublement marginalisées ou stigmatisées – femmes de couleurs, autochtones, lesbiennes, prostituées, transsexuelles, handicapées, ou encore les femmes grosses, pour ne nommer que ces groupes. Si on étend la question du féminisme, ce que les féministes cherchent au fond est de l’humanité qui contient tous les questions du racisme, des homosexuels, toutes les inégalités. Une gigantesque exposition, l’exclusive des hommes artistes est une action extrême radicale qui aura le risque d’aggraver les contradictions et l’incompréhension entre les deux genres et risquer de ghettoiser les femmes et les femmes artistes. L’hétéro-normé et l’humanité est une direction plus durable et faisable, ça permet l’équilibre humain et de la société, ça donne aussi l’aurore au féminisme.
A la fin de l’exposition, j’ai vu cette phrase de Linda Nochlin, « La forte présence des artistes femmes dans le monde de l’art contemporain est aujourd’hui un fait reconnu. Il est pourtant important de situer sa genèse dans le contexte des vastes révolutions sociales et culturelles menées par les Noirs, les gays, au nom du féminisme ou de post-colonialisme, qui se déroulent depuis les années soixante-dix et sont loin d’être terminées. »
 
PS: Texte critique écrit dans le cadre de Writing Art, par rapport mon recherche du féminisme

Spring is coming


 

 

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Sheffield City Center

 

 

 


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Spring is coming, leave the bad weather, life is so beautiful under the sunshine
Dear Wenjue

jeudi 10 mars 2011

Studio space and some students’ works

 


 

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Jeu de mots

 

 

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  Dans le cours de Writing Art, Sharon nous a proposé un petit jeu de mots très interessant, les étudiants ont apporté des journaux, des textes ou des mots imprimés. Nous avons coupé les mots que l’on en avait besoin puis collé sur le papier, le collage était un petit critique d’une exposition.
  Mon collage est Sur l’expostion de Weiwei Ai Sunflower Seeds au TATE, sur le politique chinois, une exposition ironique.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

mercredi 9 mars 2011

Text and Painting

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I kiss you my sad childhood



  L’autobiographie est toujours l’essence de mon travail artistique, “life is art, art is life”, on ne peut jamais séparer ou distinguer les deux. Ma vie est l’énergie et la source continue de mon art, c’est là j’ai retrouvé mon existence, heureuse, triste, folle, désespérée…comme la vie s’est produit, il n’y aucune omission. Grâce à toutes ces passé, je suis devant comme tu me vois à ce présent.