mardi 29 mars 2011
jeudi 24 mars 2011
Kim L. Pace
L’artiste et curator Kim L. Pace est invitée au conférence de nôtre département. Elle travailles sur multi-médiums, photo, dessin, installation et récement film d’animation.
A travers ses travaux, les grotesque héroine demi-animal demi-humain dans des narrations issues des histoires anciennes, reflètent nôtre vie contemporaine, l’artiste se met entre deux temps, les époques passées et la vie d’aujour d’hui, dès fois sombre, effrayant, dès fois humoristique.
Dans les grands formats de photographie, ‘Freak-show’, les femmes s’habillent chic, à la mode, mais en même temps hirsutes, human-gorilla, les images hideuses, la nature humaine dont une femme peut être simultanément séduisante et affreuses. “The prefect woman is a lie ” (Le fameux solgan dans les photos de Susanne JUNKER)
Le récent film d’animation Depth Wish, filmé au fond de la mer, le lieu inabitable, l’origine de la vie en même temps. L’artiste invente un ‘monstre’ demi-possion demi-humain, mis en scène sans intrigue, ce que le film montre c’est plutôt l’impuissance de l’héroine dans cette situation sombre, étouffée et troublante.
Au tours de ses travaux, les ‘monstres’ humain-animal est toujours le sujet particulier, le truchement de l’artiste, où l’histoire annciénne et nôtre époque contemporaine se croisent, les rêves et les cauchemars se remplient, rèlevant une étrangeté inquiétante, ce que les conditions d’être humain.
lundi 21 mars 2011
Critique sur Elles@Pompidou
« Une chambre à soi » est le fameux essais de Virginia Woolf qui nomme une section de l’exposition. La réflexion de cet ouvrage ne confirme pas seulement les conditions matériaux indispensables pour une femme créatrice. Mais aussi la nécessité de regard vers soi-même, une voix différente et indépendante de celles des hommes afin de construire sa propre existence. La différence fondamentale entre deux genres est évidemment le corps, ou particulièrement le sexe. Donc le corps devient le matériau privilégié dans la construction de leurs travaux artistiques, qui réponse bien une des thématiques : Corps slogan, pour créer une empathie, une identification.
Robe de chair pour albinos anorexique, 1987 de Jana Sterbak nous donne une image dégoutante et bouleversante loin de la beauté et du désir, un corps humain que les peaux se vieillissent naturellement.
La vidéo performance Meat Joy, 1964 de Carolee Schneeman, mettant les femmes au sujet de leur désire et le plaisir sexuel au lieu d’être l’objet du désire masculin.
Le sol de l’entrée de « Une chambre à soi » est projeté par le vidéo clip de Pipilotti Rist. Les couleurs diaprés et la jouissance de la musique crée une ambiance vivante, joyeuse et féminine. Le plaisir et la raison d’être de la féminité.
A travers ces 200 artistes et 500 œuvres, les femmes artistes réapproprient les places qu’elles méritent mais n’occupent pas encore dans l’histoire de l’art, non seulement le nombre des artistes et des œuvres exposées mais la volonté de cette exposition s’est tenté d’éprouver la plus de possibilités de multi-existences féminines qui mérite bien ses pluriel—elles@Pompidou. La multiplicité des œuvres et ses réflexions évoluent de l’histoire féministe à nôtre époque contemporaine. Comme ce que dit l’artiste-Performeuse Valié Export « IL EST PLUS QUE TEMPS que nous, les femmes, utilisions l’art comme un moyen d’expression pour influencer la conscience de chacun. »
En regardant en arrière, la première vague du féminisme des années 1960, les hommes et les femmes deviennent égaux devant la loi : droit à l’éducation, droit au travail, droit à la maîtrise de leurs biens et droit de vote des femmes. Le mouvement féministe a produit une grande diversité d’analyses sociologiques et philosophiques. La deuxième vague féministe, qui intervient à la fin des années 1960 avec la naissance du Mouvement de libération des femmes, les revendications touchant au contrôle de leur corps, le droit d’avortement, de contraception, la construction de nouveaux rapports sociaux de sexe. Dans cette perspective, la notion de « genre » entend « dénaturaliser » les rapports entre les sexes. Ces mouvements féministes ont aussi beaucoup influencé l’idéologie et les pratiques artistiques.
Dans l’exposition elles@pompidou, les dessins et les sculptures de Kiki Smith m’ont beaucoup impressionné et aussi ouvert un nouvel angle en tant que femmes artistes. Les filles sont en train de faire l’amour avec les animaux, loup, chèvre etc. Ses œuvres rendent le sexe au terrain naturel et culturel, séparé du genre, éloigne de la société et la politique. C’est ça notre but final en tant que féministe — l’humanité.
Grâce à l’appréciation du public, elles@Pompidou a prolongé sa durée. La troisième fois de visite, après plus d’un an, l’exposition a ajouté une autre thématique : Trouble de genre, dont les artistes homosexuels, transsexuels se sont exposé, comme Andy Warhol, Judith Butler. La question est devenue plus complexe. Ici, le genre est distinct du sexe. On peut être né masculin, se perçoit comme de genre féminin, et désire changer de sexe pas exemple. Les théories trans-, queer, gay brouille le genre et l’opposition simple homme/femme. Dans « Le deuxième sexe », Simone de Beauvoir a aussi déclaré « On né pas femme, on devient femme ». C’est la société et la politique nous imposent nôtres rôles féminins dominés.
La troisième vague du féministe à partir des années 1990, issue de la ‘deuxième vague’. Entre autres différences, l’importance accordé à la diversité au sein des groupes, notamment par une meilleure visibilité occupée par les femmes considérés comme doublement marginalisées ou stigmatisées – femmes de couleurs, autochtones, lesbiennes, prostituées, transsexuelles, handicapées, ou encore les femmes grosses, pour ne nommer que ces groupes. Si on étend la question du féminisme, ce que les féministes cherchent au fond est de l’humanité qui contient tous les questions du racisme, des homosexuels, toutes les inégalités. Une gigantesque exposition, l’exclusive des hommes artistes est une action extrême radicale qui aura le risque d’aggraver les contradictions et l’incompréhension entre les deux genres et risquer de ghettoiser les femmes et les femmes artistes. L’hétéro-normé et l’humanité est une direction plus durable et faisable, ça permet l’équilibre humain et de la société, ça donne aussi l’aurore au féminisme.
Spring is coming
vendredi 18 mars 2011
mardi 15 mars 2011
vendredi 11 mars 2011
jeudi 10 mars 2011
Jeu de mots
Mon collage est Sur l’expostion de Weiwei Ai Sunflower Seeds au TATE, sur le politique chinois, une exposition ironique.
mercredi 9 mars 2011
Text and Painting
L’autobiographie est toujours l’essence de mon travail artistique, “life is art, art is life”, on ne peut jamais séparer ou distinguer les deux. Ma vie est l’énergie et la source continue de mon art, c’est là j’ai retrouvé mon existence, heureuse, triste, folle, désespérée…comme la vie s’est produit, il n’y aucune omission. Grâce à toutes ces passé, je suis devant comme tu me vois à ce présent.