Dear Lucy,
The enemies of women’s liberation in the arts will be crushed.
Love,
Nancy
Ce que les femmes veulent, c’est que les hommes cessent de baser leur grandeur sur l’amoindrissement des femmes … C’est ne point être élevées, enseignées, façonnées suivant un type de convention, type conçu dans la cervelle des poètes, des romanciers, des artistes, et par conséquent dépourvu de réalité.
Maria Desraimes
Acrylic on paper 72cm×76cm 2011 Sheffield UK
La peinture offre la possiblité d’instaurer une proximité avec un ensemble de pensées et de sentiments. Le sujet, c’est la représentation de la sexualité, du désir, et de la violence. A partir de là, la peinture joue sa rôle, un langage visuelle à travers l’oeil et la lecture, un outil de la communication avec ce monde contemporain, sa présence statique provoque une réaction, c’est l’envers recomposé du réel.
I kiss you my sad childhood (On going project)
photo, embrodery and various materials, UK 2011
Mon enfance, elle est jamais éloignée, dès année après le mémoire devient l’esscence de mon travail artistique, l’enfance n’a jamais perdu sa magie, elle me hante, elle m’encourage, elle devient une partie de toute ma vie. J’essaye de sortir, de dire à dieu à ces passé, cependant chaque fois quand elle revient, je revois cette petite fille, désespérée et aussi courageuse. Le mémoire se joue et se déjoue, un combat entre le passé et le présent.
Ce travail est un côté littéraire et narratif. Les photos du passé, une image irréelle, loin de la vie. Une photo de famille, on se pose devant l’ appareil de photo, sourire, joyeux. Avant déclencher, on est déjà devenu “une image heureuse” prêt à être photographié, un point tiré du temps réel, efface tous les passé, toutes les futures, une photo de famille est aussi proche de la mort. L’autobiographie est toujours le support de mon travail, je ne peux jamais faire de l’art si je ne suis pas honnête.
L’art nous permet une grande possiblité de la création, de continuer à se déconstruire et se reconstruire. Ici, j’imagine une conversation entre ma mère, dans une condition féminine, matriarcale, on ne peut jamais déconstruire pleinement cette société patriarcale, en revache, la création nous permet de chercher sa oppostition, une relation maternelle.
Un relique de l’enfance, la conversation s’établit, ici, la réalité et l’imagination s’entrecroisent, se transforment ses rôles de fonction, le mémoire et le temps se reconstruisent.
A côté du Lisson Gallery, les affiches d’Ai Weiwei
" Creativity is the power to reject the past, to change the status quo, ans to seek new potential”
" Liberty is about our rights to question everything”
" Words can be deleted, but the facts won’t be deleted with them”
Au South Bank Centre à Londres, une grande exposition de Tracy Emin, Love is what you want, Une artiste anglaise connue par son travail autobiographique. J’étais étonnée et touchée par son courage et la grande force, jamais une artiste peut s’ouvrir aussi tant, pendant l’expostion, je sentais le cri de son âme, le sang coulé vigoureusement, la confession est si sincère et entière!
Edinburgh, la belle ville. Les montagnes, la mer, les chatêaux, les vieux architectures gothiques. Plein nord, les paysages sauvages, le vent impétueux, le musique mélodieuse de la cornemuse… Nous marchions dans la ville, chaque pas était une rencontre inattendue, les féeries remplissait mes yeux fermant à demi, les cheuveux volaient au rythme lyrique du vent, je laissais couler tout mon corps tout mon esprit dans cette légerté de la jouissance…